Dernier jour de ce bien trop long mois d'août.

Appeler moins.
Se faire rare, à nouveau.
Ne pas craindre, seule condition pour être libre.
Ne jamais se cantonner à un seul regard. Au contraire, les multiplier.

Ne pas avoir besoin mais envie.
Rien d'acquis, jamais, encore moins de dû, le vivant est une constante précarité, un fil du rasoir aiguisé, une négociation reconduite d'instant en instant. Il n'y a que des situations, alors s'adapter.

Toujours la même rengaine, quand on est nihiliste, il faut se passionner. Entretenir le foyer... ou comment tout commence par une cuisine bien rangée !

Le jour du départ, il me fait le coup du double appel.